Le 28 octobre 2015, un entomologiste chef de service au ministère étatsunien de l'agriculture, accusait sa hiérarchie d'avoir supprimé des résultats de recherche susceptibles de mettre en cause l'utilisation d'une classe répandue de pesticides (les néonicotinoïdes), un des gros moteurs de revenus de l'industrie agrochimique.