En 2005, suite à une étude de 4 ans qui avait coûté 8,5 millions d'euros et mobilisé 150 chercheurs, la Grande-Bretagne concluait que le colza OGM était une menace sérieuse pour de nombreuses espèces. "Le destin des OGM est scellé, du moins pour le futur prévisible" annonçait l'"Observer". Pourtant, au Canada et aux États-Unis, on cultivait déjà de grandes surfaces en OGM.