Les abeilles récoltent sur les fleurs le jus sucré du nectar, pour l’énergie qu’elles vont consommer, et les protéines du pollen pour la croissance de leurs jeunes. Certaines solitaires, comme les mégachiles, y ajoutent des feuilles soigneusement coupées pour tapisser le nid qu’elles vont construire dans les cavités des bois. Les raffinées préfèrent les pétales.
Les abeilles récoltent sur les fleurs le jus sucré du nectar, pour l’énergie qu’elles vont consommer, et les protéines du pollen pour la croissance de leurs jeunes. Certaines solitaires, comme les mégachiles, y ajoutent des feuilles soigneusement coupées pour tapisser le nid qu’elles vont construire dans les cavités des bois. Les raffinées préfèrent les pétales.
Les abeilles récoltent sur les fleurs le jus sucré du nectar, pour l’énergie qu’elles vont consommer, et les protéines du pollen pour la croissance de leurs jeunes. Certaines solitaires, comme les mégachiles, y ajoutent des feuilles soigneusement coupées pour tapisser le nid qu’elles vont construire dans les cavités des bois. Les raffinées préfèrent les pétales.
Le 28 octobre 2015, un entomologiste chef de service au ministère étatsunien de l'agriculture, accusait sa hiérarchie d'avoir supprimé des résultats de recherche susceptibles de mettre en cause l'utilisation d'une classe répandue de pesticides (les néonicotinoïdes), un des gros moteurs de revenus de l'industrie agrochimique.
Pourquoi l'abeille fait-elle du miel alors que la plupart des insectes se contentent de consommer le nectar des fleurs ? Quels sont les animaux qui hibernent et comment cela se traduit ? De la marmotte des Alpes dont la température interne chute de plus de trente degrés à la production de protéine antigel par certains insectes, nous marquons l'entrée dans la période hivernale.
Chez les abeilles mellifères, la reine est la seule femelle reproductrice de tout un peuple, le maillon essentiel. Si elle disparaît, la survie de la colonie n’est pas assurée d’entrée de jeu. Ni la création de cellules royales avant le départ de la reine par essaimage, ni l’élevage d’une reine de sauveté après disparition accidentelle de la reine, n’assurent au peuple survivant une sécurité totale. L’avenir d’une colonie est toujours problématique !
En observant un banc de poissons dans une rivière, du haut d’un pont, avez vous déjà remarqué avec quelle vélocité et quel ensemble ils changent soudain de direction ? Dans beaucoup d’espèces, les déplacements se font en groupe : migrations saisonnières, déplacements à la recherche de nourriture, retour à l’abri. Comment diable s’orientent-ils : prédisposition génétique, choix collectif, ou bien, comme pour les essaims d’abeilles, conduite par une partie restreinte du groupe ?
Documentary by Andrew QUITMEYER & Tucker BALCH (narrated by Colin POTTS) Les lecteurs de ce blog sont censés bien connaître...
Le 7 décembre est le jour de la Saint Ambroise, patron des apiculteurs. Dans les divers groupements et syndicats, ce sera l'occasion d'assemblées, de festivités et de ripailles. Profitons de l'occasion pour aller rechercher dans notre "longue mémoire" ce que signifie ce nom d'Ambroise, qui évoque l'ambroisie des dieux, et toutes ces choses, vieilles d'au moins 4000 ans, qui nous rattachent à un passé qui perdure dans nos mentalités, dans notre langage, dans nos comportements. Buvons le nectar, élixir d'immortalité, boisson de nos dieux anciens !
On dit parfois que des abeilles reconnaissent leur apiculteur. D’encore plus belles histoires, peu vérifiables, parlent de colonies qui sortent en masse à la mort de leur berger, ou envahissent pacifiquement la maison du maître le jour de ses funérailles ! Aujourd’hui pourtant, des abeilles ont été entraînées à reconnaître visuellement un visage humain.
Il arrive que le choix d'une implantation par nos abeilles ne soit pas des plus judicieux. Un simple essaim s'il décide de s'installer dans le moteur d'un avion, peut causer bien des dégâts au démarrage et coûter bien des sous à la compagnie qui n'avait pas remarqué les petits insectes rodant autour dudit moteur. Il est vrai que ce n'est pas facile à remarquer et un peu inattendu. Voila encore une (grosse) colonie de perdue !
La "dérive" des butineuses est un problème récurrent. Dès qu'il y a concentration des ruches, les butineuses vont se tromper de ruche au retour et foncer vers la plus proche. Vincenzo Menna a trouvé une solution. Il a réinventé "die kruis van ossewa," le cercle de chariots des "Voortrekkers" du Transvaal ou des pionniers de la Piste de l'Oregon.
Les chasseurs du Lot décident de semer un hectare de fleurs sur une jachère. Un début modeste pour le petit gibier mais peut-être aussi pour les insectes pollinisateurs. C'est vous les chasseurs ? C'est bien, continuez !
Chez les apiculteurs, il est parfois de bon ton de dire que l'abeille mellifère est là depuis tellement longtemps, qu'elle en a tellement vu d'autres, qu'elle s'adapte si bien à tous les changements, ... bref, qu'elle saura aussi passer avec succès les épreuves actuelles : mondialisation, parasites, maladies, métissage, et même les pesticides ! La publication du séquencement des gènes dans le génome de l'abeille ne soutient pas vraiment cet optimisme.
On trouve parfois, à la fin de l'hiver par exemple, des colonies mortes dans leur ruche. De quoi sont elles mortes ? Qu'a fait l'apiculteur qu'il n'aurait pas dû faire ? Qu'a-t-il omis de faire qu'il aurait dû absolument faire ?
De tous temps, les humains ont utilisé les animaux comme auxiliaires d'attaque et de défense et comme cobayes pour tester sur eux pleins de choses désagréables. L'avantage des insectes, c'est que cela ne coûte presque rien et s'éduque très facilement, que leurs performances sont infiniment supérieures à celles de tous les autres animaux et encore plus des outils électroniques, et que tout le monde se contrefiche de ce qui pourrait leur arriver.
Venez goûter le miel de votre quartier et participer aux sympathiques animations urbaines apidomaniaques d'Olivier Darné.
On demande parfois aux apiculteurs s'ils doivent chauffer leurs ruches pendant l'hiver. Question logique pour qui sait que les abeilles sont des animaux à sang froid (ou plus exactement à hémolymphe froide). Pourtant les abeilles souffrent plus de l'humidité qui pourrait régner dans la ruche que des froids parfois rigoureux de l'hiver.
Une petite ONG italienne, dans une des zones les plus touchées par le sida, implante en Tanzanie une apiculture très traditionnelle, sans beaucoup de moyens matériels mais capable de durer et d'aider à re-socialiser les orphelins qui apprennent à la pratiquer.
La pollinisation du potiron est parfois délicate dans la mesure où les fleurs mâles et les fleurs femelles ne fleurissent pas toujours exactement en même temps. Pour polliniser ses potirons, la Hollande devrait-elle dorénavant acheter ses abeilles aux Suédois ? C'est la théorie farfelue d'un apiculteur du Flevoland qui prétend pouvoir développer une abeille (très) spécialisée.