Les abeilles récoltent sur les fleurs le jus sucré du nectar, pour l’énergie qu’elles vont consommer, et les protéines du pollen pour la croissance de leurs jeunes. Certaines solitaires, comme les mégachiles, y ajoutent des feuilles soigneusement coupées pour tapisser le nid qu’elles vont construire dans les cavités des bois. Les raffinées préfèrent les pétales.
Un EFFET TEMPERATURE est-il possible sur la surexpression du système immunitaire inné ? Un effet CHOC THERMIQUE sur les cellules nasales attaquées par le COVID-19 pourrait-il déclencher la cascade des réactions naturelles des défenses cellulaires conservées par l’évolution (depuis les bactéries jusqu’aux humains) et arrêter l’agression virale en cours bien avant qu’elle ne puisse se propager aux poumons ? C'est l'hypothèse (à vérifier) d'un biologiste marin familier des virus qui attaquent les piscicultures !
Leptospermum scoparium ou mānuka vient de Nouvelle Zélande. Immédiatement utilisé en tisane pour ses propriétés digestives et antiscorbutiques, on découvrira d'autres facultés antiseptiques, antivirales, antimycotiques, antibiotiques, anti-inflammatoires, antihistaminiques et anti-allergéniques, analgésiques etc. Une panacée ! Cependant le « bizness » autour du miel de mānuka a parfois des relents déplaisants ou rigolos, selon le degré de détachement du lecteur. Développons.
A l’ouverture d’une ruche, certains vieux apiculteurs plongent avec délices leurs narines au dessus de la colonie pour inspirer séance tenante un bon bol d’air de ruche à la bonne température. C’est bon pour les poumons, disent-ils, pour les sinus et le système immunitaire en général. Une famille allemande organise des "cures" de ce produit de la ruche encore peu connu.
Récolter et exporter du miel bio à grande échelle ? Oui, c'est possible, si on a d'abord bien choisi la zone géographique, ensuite bien organisé les collectes et réparti les mielleries, enfin bien structuré, bien formé et bien utilisé tout un réseau de micro-apiculteurs locaux. SECONDE PARTIE
Récolter et exporter du miel bio à grande échelle ? Oui, c'est possible, si on a d'abord bien choisi la zone géographique, ensuite bien organisé les collectes et réparti les mielleries, enfin bien structuré, bien formé et bien utilisé tout un réseau de micro-apiculteurs locaux.
L'apiculture s'occupe des abeilles mellifères, la "méliponiculture" des 500 espèces d'abeilles sans dard qui appartiennent à ce sous-ordre, exploitées en Amérique centrale depuis les Mayas. Leurs "miels," qui n'ont pas droit à cette appellation selon les normes de l'Organisation Mondiale du Commerce, sont généralement plus acides et il sont très utilisés par toutes les médecines populaires de la région. Une incroyable richesse, une incroyable diversité, une incroyable pagaille pour les répertorier, les nommer, leur donner des normes de qualité qui permettront de les populariser en dehors de leurs zones locales.
La "semaine du goût" existe en France depuis 1990. L'idée de départ consistait à aider un certain patrimoine culinaire à se faire connaître et aimer. Elle consistait aussi à aider les écoliers à apprendre la diversité des saveurs. Bien entendu, le miel fait partie des thèmes récurrents dans les semaines du goût.